Ce chiffre, ce n’est pas zéro. Bien entendu, personne n’aime faire 0 chiffre d’affaires, 0 vente, je vous l’accorde.

Mais il y a pire encore.
Le pire chiffre ? De nombreux entrepreneurs l’ont appris à leur dépens.

Je vous le révèle dans ce court article !

On peut même dire que c’est l’opposé d’un nombre magique…
C’est le chiffre tragique : c’est 1.

1 comme un seul client, quand votre business dépend intégralement d’un client, de son bon vouloir, de ses dépenses chez vous, de ses priorités.

1 comme un unique produit, quand vous n’avez qu’une seule offre, et que tout votre chiffre d’affaires dépend de votre capacité à vendre ce produit.

1 dans le business, ça se traduit par « voie sans issue ».

Si le moindre imprévu arrive, ça peut devenir très compliqué :

Avec le coronavirus, les lieux de vie comme les restaurants, qui n’avaient qu’un seul business model ont été durement frappé.
L’hôtellerie, aussi.
Le monde de la nuit, des clubs et des bars : idem.

(Une pensée pour eux qui m’ont tant appris sur l’art de la vente).

Le risque si vous n’avez qu’une seule offre

Mais même sans parler de virus, si vous n’avez qu’une seule offre en ligne,
Vous vous mettez en danger.

C’est pour cela que je propose deux formations sur le site pour le moment :
Copywriting Express
Des Titres Qui Tuent

Si un concurrent arrive demain avec une meilleure offre (possible), moins chère (possible), et qu’il fait plus de publicité que vous pour acquérir de nouveaux clients, votre CA peut prendre un gros coup d’arrêt.

Si vous êtes copywriter spécialisé dans un secteur, et que ce secteur s’arrête pour une raison ou pour une autre, vous vous retrouverez du jour au lendemain sans mission.

Être monoproduit ou mono-offre est une bonne stratégie à suivre au début de votre aventure, quand vous lancez votre business.

Mais une fois que vous atteignez l’excellence et que vous maîtrisez cette offre,
Investissez du temps et de l’argent pour diversifier votre offre.

Comment diversifier votre offre ? L’exemple des infopreneurs

Imaginons que vous soyez prof de yoga, expert en productivité ou coach en copywriting.

Vos premiers revenus sont généralement issus de la vente :

  1. D’un ebook
  2. De formations vidéos
  3. D’ateliers que vous animez en présentiel ou à distance, en visio
  4. Des coachings privés que vous proposez en individuel

L’idée, c’est de décliner un même savoir, une même expertise, sous différents formats, parce que tous vos clients ne sont pas friands des mêmes contenus.

Certains de mes clients réclament des podcasts sur le copywriting, plutôt que des vidéos : ils préfèrent écouter et marcher, plutôt que de rester assis à regarder un écran.

D’autres consommateurs (comme moi) préfèrent lire des livres sur le copywriting.

A vous de faire le calcul, entre d’un côté vos ressources, et de l’autre, ce que vous pouvez espérer comme retour sur investissement avec cet effort supplémentaire.

PS : on parlera un autre jour du piège inverse, à savoir proposer une offre trop variée, qui devient complètement indigeste et illisible pour le client.

L’équilibre, mes amis… Tout est une question d’équilibre pour aider votre prospect à faire le bon choix !

Sélim Niederhoffer, copywriter à votre service