Cette mission en copywriting paie mal, c’est vrai.
Pourtant, elle est essentielle.

Même moi, quand je reçois des mails (très gentils) qui me disent « Sélim, tu as fait une faute ici, là et là »,
je ne donne que très rarement suite.

L’orthographe, la rectitude grammaticale : presque tout le monde s’en moque (à tort) dans le business, quand on a passé les 80-90% de justesse.

Quand vos articles, vos pages, votre tunnel de vente, votre site sont corrects à plus de 80-90%,
vous n’investissez pas dans la relecture. Vous n’allez pas payer un relecteur.

Si vous voyez une mini-faute quelque part, allez-vous la signaler à l’auteur ? C’est peu probable.

En revanche, et c’est ce que je vous encourage à faire dans cette vidéo

Je vous donne une astuce qui ouvre des portes pour prospecter

si vous relevez entre 3 à 5 fautes ou plus dans un texte, vous tenez votre excuse pour envoyer un mail de prospection.

La vidéo qui suit, c’est un nouveau format que j’avais en tête depuis un moment.

Ce format s’appelle « STYLO ROUGE », j’espère qu’il vous plaira.

Pour ce premier épisode, je démarre avec une star des start-ups françaises : RESPIRE.

Ce n’est pas du pur copywriting. On n’est pas dans les principes de persuasion. Dans le business du brand content, on appelle ça du contenu de « longue traîne ».

C’est du contenu loin, très loin des préoccupations premières des apprentis copywriters.
Mais qui est quand même connecté à notre business.

La vidéo dure 9 minutes, et je vous demande une chose : est-ce que vous pouvez me dire en commentaires sur Youtube si ce genre de vidéos est utile ? Ou si vous préférez que je me concentre sur le pur copywriting ?

Soyez sans pitié, je ne le prendrai pas mal, promis. (J’ai juste besoin de savoir si j’investis mon temps dans d’autres épisodes comme ça, ou si vous préférez des décryptages de page de vente)

Un grand merci pour votre aide !

Votre ami expérimentateur,
Sélim

PS : dans le mail de mercredi, vous découvrirez un décryptage technique d’un post Linkedin qui a fait plus de 500.000 vues (le compte de l’auteur n’avait pourtant « que » 8.000 followers). Ca laisse rêveur, non ?

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