Vous savez, ce truc, quand vous ne devez pas vous gratter, mais que vous le faites quand même ?

En ce moment, c’est ce que je ressens quand je me connecte sur les réseaux sociaux, alors qu’il ne le faudrait pas… mais c’est trop fascinant d’un point de vue psychologique.

Mon sujet du jour est inspiré par deux tweets de personnes que je classerais dans la catégorie « optimiste ».

Une fille que je connais devait se marier cet été, début juin, et hésite à reporter, mais à reporter quand, hannnn, c’est duuuuuur de choisir.

Une autre pose la question dans un tweet : « J’ai réservé des vacances cet été à l’étranger, vous pensez que je dois faire quoi ? Annuler ? Attendre ? Prier ? »

Je dois bien admettre que pour un observateur de la psychologie humaine, c’est fascinant de voir comment se répartissent « LES GENS ». Des optimistes, et des pessimistes. Et ces gens-là sont vos clients, c’est pour cela que c’est si intéressant pour un copywriter !

Pour ma part, j’ai annulé des déplacements alors que le confinement n’était pas encore prononcé, parce que je ne peux pas prendre de risques, pour des raisons personnelles (je suis asthmatique, je n’ai pas vraiment envie de tester cette « petite grippe » ou ce « gros coronavirus », quelle qu’en soit la violence).

J’ai dû renoncer à un beau voyage à Marrakech, et un séjour à Londres.

Ma belle-sœur devait se marier le week-end dernier, mais elle fait partie des optimistes. Elle a donc attendu, et attendu, et retardé le report du mariage à octobre, malgré mes conseils… fin février.

Vous l’aurez compris, je me classe dans la catégorie des pessimistes. Même si je préfère évidemment l’étiquette de « réaliste », ou de pragmatique.

J’ai beau savoir que les gens sont capables du pire comme du meilleur, pour ma part, pendant cette crise sanitaire, j’ai décidé de ne voir que le pire, et de me préparer au pire… mais de donner le meilleur à mes clients.

C’est quoi, un copywriter pragmatique ?

Comprendre :

J’ai beau courir, adorer courir, me rendre dans ma salle de sport, là en ce moment, je déteste les joggeurs qui pendant la période de confinement parcourent des kilomètres et transmettent peut-être le virus.

Je me prépare mentalement à passer l’été enfermé à Paris, dans ce nouvel appartement.

Si vous vous souvenez de la canicule de l’an dernier, vous vous rappelez que le mercure était monté à plus de 42 degrés dans la capitale.

Je préférerais évidemment passer cette période les pieds dans l’eau, sur le bassin d’Arcachon ou à l’étranger.

Mais mentalement, pour ne pas être déçu, je préfère me préparer à une sortie de confinement très tardive, vers octobre ou novembre s’il le fallait, afin de ne pas être déçu.

J’accepte l’idée de devoir être réquisitionné « si jamais » (si jamais quoi ? Aucune idée, mais mon père étant militaire, j’ai grandi sous le drapeau, avec un certain sens de la communauté et du devoir).

Malgré ce « pessimisme », j’ai un avantage sur certaines personnes, pendant le confinement : je suis plutôt introverti. Je me recharge quand je suis tout seul, avec un bon film ou un bon livre.

En ce moment, tous les extravertis, ceux qui vibrent au contact des autres, sont au plus mal, et passent leurs vies sur Facetime, Facebook, Whatsapp, ou les applis HouseParty ou Netflix party pour être avec leurs proches, et ne pas se sentir seuls, ce qu’ils détestent le plus au monde.

Autre avantage : le fait d’avoir fait deux ans de prépa, en internat, dans une chambre de 9m².

En ce moment, j’ai vraiment l’impression de revivre cette période bénie où j’avais un but clair dans la vie, de 17 à 19 ans, partagé avec mes camarades de classe.

Deux ans enfermés, à préparer les concours d’entrée aux grandes écoles de commerce, à apprendre les classiques de la philosophie, de la littérature et des théories économiques évidemment.

Comme les sous-mariniers , comme Thomas Pesquet notre spationaute préféré l’expliquent : le confinement, l’enfermement, c’est plus facile quand on connaît la date de fin.

Le problème avec la communication gouvernementale qui s’adapte, c’est qu’elle n’arrive pas à donner une date de fin à ce confinement. Et c’est ce qui rend les gens fous et tristes : c’est l’incertitude.

Dans les périodes d’incertitude, les lecteurs, les clients, les électeurs vont se tourner vers des solutions radicales, vers des pensées radicales, vers les porteurs d’espoirs.

Les radicaux ont souvent l’assurance qui fait défaut aux modérés. (Même s’ils mentent, malheureusement)

Le copywriting pendant cette phase d’incertitude apporte de la certitude

Pendant cette période d’incertitude, ayez l’audace de proposer des produits ou services radicaux à vos clients.

Rassurez-les, soyez avec eux.

Récemment, j’ai proposé sur mon blog lifestyle l’adaptation d’un article US de mon ami Neil Strauss sur la santé mentale pendant le confinement.

Garantissez-leur les plus grands bénéfices, ceux que vos meilleurs clients ont atteints : donnez-leur de l’espoir.

Le client lambda a besoin d’être rassuré, et vous, en tant que copywriter, vous avez ce pouvoir.
Grâce aux choix de vos mots, vous pouvez avoir un vrai impact sur la vie de vos clients.

Et n’oubliez pas de réduire toute incertitude pour eux : le cerveau humain déteste ça. Rassurez vos clients !

Préparez toujours la liste des réponses à leurs objections.

Ayez toujours une réponse, une solution à offrir face aux risques que vos clients perçoivent.

A très vite pour de nouveaux conseils en copywriting !
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